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Jaklin, peintre belge, découvre dès sa prime adolescence, les univers éthérés des Maîtres que sont Delvaux et Magritte. Autodidacte, elle s’essaye très jeune à la technique de l’huile sur toile comme les grands maîtres qui l’ont tant fascinée.

 

Son parcours atypique commence par une longue carrière dans le monde du mannequinat international où elle dirigeait la cabine et défilait pour les maisons DIOR VALENTINO et LOUIS FERAULT. Elle a été propriétaire de sa propre boutique de Prêt-à-porter durant 10 ans pour ensuite travailler pour le Groupe de luxe LVMH, directrice de la boutique Façonnable, directrice de la boutique Giorgio Armani à Bruxelles et pour enfin revenir à ses premiers Amours, la peinture qui devient son activité principale.

 

Pour perfectionner sa technique, elle a suivi quelques cours de restauration de tableaux et de pratique de peinture du 17ième Siècle à la manière de Rubens. Aimant les défis et les challenges, ce sont les commanditaires de plus en plus nombreux qui l’ont fait explorer différentes techniques l’amenant à parfaire son art. Elle préfère travailler avec la peinture à l’huile, jouant  souvent avec sa fluidité sous l’influence des médiums, d’où naissent des effets lisses et mélangés, sublimant les effets d’ombres et de lumières.

 

La patience et la rigueur sont ses plus grands atouts. Jaklin a une fâcheuse tendance à pousser le détail dans ses moindres retranchements jusqu’à ce que tout s’allume. C’est magique et magnifique.

 

Suite à un concours de circonstance, elle a eu  l’occasion de découvrir « l’Art Héraldique ». Cela s’est concrétisé dans  la réalisation d’armoiries, d’Obiits d’ancêtres ainsi que la copie de tableaux de Grands Maîtres du 17ième Siècle.

 

L’héraldique est devenu pour Jaklin une vrai passion. Elle s’est appliquée aux règles très strictes de la discipline (les émaux, les meubles, les différentes couronnes, etc..). Et ce qu’elle adore et la fascine c’est la découverte de « l’Histoire » qui se cache derrière chaque armoirie.                  

 

L’évolution artistique de Jaklin lui a valu d’être approchée par l’émission télévisée de la rtbf « C’est du belge ». Dans ce reportage sa mission consistait à réaliser une copie conforme du portrait de Jean-Charles della Faille (Astrophysicien),  pièce maîtresse du célèbre peintre  « Antoon Van Dyck » exposé au  Musée Royal des Beaux-Arts. Ce tableau se trouve dans une des deux salles du «Legs della Faille». ( Voir le reportage ici ).

 

Jaklin a également eu l’honneur d’être choisie pour la création du nouveau « Poinçon » de la « Joailleries Wolfers », Fournisseur de la cours.

 

Son style premier étant le surréalisme qu’elle crayonne selon son inspiration, la plupart du temps issu du fruit de ses rêves et de ses songes. Chaque dessin se révèle unique tel un bijou dans son écrin.

 

« La peinture est un piège pour l’esprit » dit-elle. Il suffit de regarder son œuvre pour s’en convaincre. Elle est parvenue à abolir les limites de la logique pour faire place à un univers sorti tout droit de l’inconscient mais qui pourtant, sous nos yeux, prend une forme réelle. Sa quête est d’ « inscrire l’éternité de l’instant dans le mouvement du pinceau ». Jaklin, par son talent, fige les moments les plus étranges qui deviennent sur la toile comme des moments de lucidité. Elle essaye par sa démarche de nous dire que l’antagonisme qui pourrait exister entre le réel et le merveilleux est moins prononcé qu’on ne le croit ou peut-être n’existe-t-il tout simplement pas ! 

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